Nous aspirons tous naturellement à vivre libre. Bien sûr, l’esclavage est aboli depuis longtemps, la plupart d’entre nous est convaincue de ne pas être esclave. Car quand on parle d’esclave, on pense à « esclave de quelqu’un d’autre ».
Or il existe une autre forme d’esclavage, bien plus pernicieuse celle-ci, c’est être « esclave de soi-même« . Et beaucoup de personnes sont malheureusement dans ce cas, parfois consciemment, souvent inconsciemment.
La vanlife est justement un chemin possible pour se libérer de ses chaînes, je vous explique comment dans la suite…
La question posée ainsi peut sembler volontairement polémique. Moi? Dépendant? Je ne me drogue pas, je ne fume pas, je ne suis pas alcoolique, donc je ne suis pas dépendant! Exact, vous n’êtes pas dépendant à ces substances néfastes pour la santé, et c’est déjà une très bonne chose. Mais qu’en est-il de: votre smartphone, votre voiture, l’eau courante qui coule à votre robinet (froide et chaude), le courant électrique disponible à toutes vos prises, la télévision, Netflix, les réseaux sociaux, la nourriture? Je veux parler ici de la dépendance à toutes ces petites choses que nous tenons pour acquises et qui composent notre confort moderne. Nous n’y pensons même plus tellement la plupart de ces choses sont évidentes, a tel point que nous n’imaginerions même pas vivre sans elles. Pensez à votre réaction lors d’une coupure EDF (elles sont de plus en plus rare) ou d’eau (encore plus rares). Quoi? Plus de courant? Comment est-ce même possible? Les jeunes générations ont parfois même de la peine à le concevoir. Elles peuvent encore vivre quelques heures sans courant, pourvu que la batterie de leur portable soit chargée, mais qu’en est-il d’une zone sans réseau de communication 4G / WiFi? Inimaginable ;)!